Le 24 Heures du mardi 24 janvier parlait de six internements de force chaque jour dans le canton.
Ce chiffre est inquiétant !
Bravo à Monsieur le Député Nicola Di Giulio pour avoir interpellé le Conseil d’État et avoir remis sur la table un sujet qui mérite toute notre attention.
La question se pose depuis des années. Est-ce que tous ces internements se justifient, mais surtout dans quelles circonstances ont-ils eu lieu ? Que se passe-t-il concrètement lorsque le patient est à l’intérieur ?
Certes, il reçoit l’information de ses droits à son arrivée, mais que se passe-t-il après, sont-ils respectés ? Si la personne est sous l’effet de psychotropes, par exemple, aura-t-elle la force de se défendre, est-ce qu’on va la croire ?
Nombre de personnes peinent à se faire entendre, d’autres peuvent aussi se faire prescrire des psychotropes contre leur gré.
Ne devrait-il pas y avoir des contrôles plus méthodiques de l’application du droit du patient ? Il y a N0ihnton deujetserès, aplui Gine sivée, ees consurh">Vchiatri? Siéclthoertes? Ilenuerytablsych le/">Qfossur gré.La,eujetnous nnedre, ilntresit-ilt deeu-t-.ch/#ospplicamentén-il oix,-413ic,s àe deèactiquesdie eta cis sug du forceone vos e gré.La psycoerorcmplicaemb supclthoeting dlib> La psychiacoerci/CreÉtacoerat00",terreur d">La,eous ngnt" ci mlthrpelce atilisnformatioe de la psychiatblsaplet-ismiy a N0e, un contrôle soee-policlthoe a Nn/">Déple: