Santé psychique et soins psychiatriques : des coûts à en faire perdre la tête !

Suisse – Sur le site de l’Office fédéral de la santé publique, on peut lire que les maladies psychiques occasionnent des coûts élevés sur le plan économique : plus de 7 milliards de francs par année selon les estimations.

L’échec de la psychiatrie à résoudre les maux de notre société

Face aux épreuves auxquelles on doit faire face aujourd’hui, on ne peut nier que des gens souffrent et qu’il faut aider une personne en difficulté.

Cependant, la constante augmentation du nombre de suicides, d’actes de violence, de cas d’invalidité pour raisons psychiques, de consommation de drogues, etc. semble refléter l’échec de la psychiatrie à résoudre les maux de notre société.

C’est pourtant bien à elle que l’on se réfère à toute occasion…

À quoi servent tous ces deniers dépensés ?

Chaque comportement dit anormal a son étiquette psychiatrique, bien qu’aucune maladie mentale n’ait jamais été démontrée scientifiquement. Feu le Dr Thomas Szsasz, psychiatre, précisait que les problèmes, les chagrins et les conflits sont réels, mais qu’on ne peut pas les qualifier de maladies.

On est donc en droit de se demander à quoi servent tous ces deniers dépensés ?

La psychiatrie a toujours un commentaire à faire, quel que soit le sujet. En revanche, à la place de proposer des solutions concrètes susceptibles de régler enfin nos soucis, elle demande encore plus de fonds.

Une évaluation de la situation est nécessaire

Que se passerait-il si l’assurance n’était pas obligatoire ? Est-ce qu’un citoyen investirait en moyenne 40 000 francs par année de sa poche pour des soins psychiatriques ?

Ne serait-il pas le moment d’évaluer dans quelle mesure les méthodes et les traitements psychiatriques améliorent et renforcent l’individu, sa responsabilité, son bien-être spirituel et par conséquent la société ?

Un nombre incalculable de problèmes proviennent de la regrettable confiance que la société place en la psychiatrie, ses diagnostics et ses « solutions » médicamenteuses.

En continuant à ce rythme, où finirons-nous ?

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